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(Page créée avec « {{commencer le texte}} {{Question}} ::Combien de temps a duré la période de grossesse de Maryam (a), la mère de Jésus (a) qui est tombée enceinte par le miracle de Dieu ?{{fin de question}} {{Réponse}} Le Coran considère la grossesse de Maryam (a) comme un miracle et sans rapport sexuel, mais il ne dit rien sur la période de grossesse de Maryam (a).<ref>Makârim Shîrâzî, Tafsîr Nimûna, vol 13, p 40, Téhéran, Dâr al-Kutub al-Islâmîyya... ») |
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De plus, la peur de Maryam (a) d'être calomniée par les autres est considérée comme un autre signe que Maryam (a) était enceinte pendant un certain temps et que les gens soupçonnaient qu'elle était enceinte. Mais dans le cas d'une courte période de grossesse, par exemple une heure, il n'y avait aucune possibilité que Maryam (a) soit calomniée et que les gens remarquent sa grossesse. | De plus, la peur de Maryam (a) d'être calomniée par les autres est considérée comme un autre signe que Maryam (a) était enceinte pendant un certain temps et que les gens soupçonnaient qu'elle était enceinte. Mais dans le cas d'une courte période de grossesse, par exemple une heure, il n'y avait aucune possibilité que Maryam (a) soit calomniée et que les gens remarquent sa grossesse. | ||
Ibn al-Kathîr<ref>Ibn Kathîr ad-Dimashqî, Tafsîr al-Qur'ân al-'Azîm, vol 5, p 196, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-'Ilmîyya, Manshûrât Muhammad Ali, Baydûn, 1419 H</ref>, un savant sunnite du VIIIe siècle de l'hégire lunaire, et Tantâwî, un commentateur du Coran sunnite contemporain<ref>Tantâwî, at-Tafsîr al-Wasît, li al-Qur'ân al-Karîm, vol 9, p 27</ref>, ont considéré ce point de vue comme l'opinion bien connue parmi les Ulémas. | Ibn al-Kathîr<ref>Ibn Kathîr ad-Dimashqî, Tafsîr al-Qur'ân al-'Azîm, vol 5, p 196, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-'Ilmîyya, Manshûrât Muhammad Ali, Baydûn, 1419 H</ref>, un savant [[sunnite]] du VIIIe siècle de l'hégire lunaire, et Tantâwî, un commentateur du Coran sunnite contemporain<ref>Tantâwî, at-Tafsîr al-Wasît, li al-Qur'ân al-Karîm, vol 9, p 27</ref>, ont considéré ce point de vue comme l'opinion bien connue parmi les Ulémas. | ||
Un groupe croit que la période de grossesse de Maryam (a) était aussi comme un miracle.<ref>Al-Majlisî, Muhammad Bâqir, Bihâr al-Anwâr, vol 14, p 225, Beyrouth, instiut at-Tab' wa an-Nashr, 1410 H</ref> Ils ont dit que sa grossesse a duré une heure. Ce groupe a cru que Dieu, immédiatement après avoir raconté l'histoire de la grossesse de Maryam (a) dans le Coran, a abordé la question de l'accouchement. Il a utilisé ici la lettre Fâ, qui signifie deux actions qui se suivent.<ref>Al-Majlisî, Muhammad Bâqir, Bihâr al-Anwâr, vol 14, p 225, Beyrouth, instiut at-Tab' wa an-Nashr, 1410 H</ref> Certains hadiths confirment également ce point de vue.<ref>Al-Majlisî, Muhammad Bâqir, Bihâr al-Anwâr, vol 14, p 225, Beyrouth, instiut at-Tab' wa an-Nashr, 1410 H</ref> | Un groupe croit que la période de [[grossesse de Maryam (a)]] était aussi comme un [[miracle]].<ref>Al-Majlisî, Muhammad Bâqir, Bihâr al-Anwâr, vol 14, p 225, Beyrouth, instiut at-Tab' wa an-Nashr, 1410 H</ref> Ils ont dit que sa grossesse a duré une heure. Ce groupe a cru que Dieu, immédiatement après avoir raconté l'histoire de la grossesse de Maryam (a) dans le [[Coran]], a abordé la question de l'accouchement. Il a utilisé ici la lettre Fâ, qui signifie deux actions qui se suivent.<ref>Al-Majlisî, Muhammad Bâqir, Bihâr al-Anwâr, vol 14, p 225, Beyrouth, instiut at-Tab' wa an-Nashr, 1410 H</ref> Certains hadiths confirment également ce point de vue.<ref>Al-Majlisî, Muhammad Bâqir, Bihâr al-Anwâr, vol 14, p 225, Beyrouth, instiut at-Tab' wa an-Nashr, 1410 H</ref> | ||
Muhammad Taqî Mudrrisî, l'un des commentateurs du Coran chiites contemporains, a qualifié les six mois de grossesse de plus puissants.<ref>Mudrrisî, Sayyid Muhammad Taqî, Min Huda al-Qur'ân, vol 7, p 31, Téhéran, Dâr Muhiba al-Husayn, 1419 H</ref> Il a cité certains hadiths à l'appui de ce point de vue. D'autres points de vue tels que huit mois <ref>Cheikh at-Tûsî, at-Tibyân fî Tafsîr al-Qur'ân, vol 7, p 120, Beyrouth, Dâr Ihyâ' at-Turâth al-Arabi</ref> et... sont également mentionnés.<ref>FAkhr ar-Râdî, Mafâtîh al-Ghayb, vol 21, p 525, Beyrouth, Dâr Ihyâ' at-Turâth al-Arabi, 1420 H</ref> | Muhammad Taqî Mudrrisî, l'un des commentateurs du Coran [[chiites]] contemporains, a qualifié les six mois de grossesse de plus puissants.<ref>Mudrrisî, Sayyid Muhammad Taqî, Min Huda al-Qur'ân, vol 7, p 31, Téhéran, Dâr Muhiba al-Husayn, 1419 H</ref> Il a cité certains hadiths à l'appui de ce point de vue. D'autres points de vue tels que huit mois<ref>Cheikh at-Tûsî, at-Tibyân fî Tafsîr al-Qur'ân, vol 7, p 120, Beyrouth, Dâr Ihyâ' at-Turâth al-Arabi</ref> et... sont également mentionnés.<ref>FAkhr ar-Râdî, Mafâtîh al-Ghayb, vol 21, p 525, Beyrouth, Dâr Ihyâ' at-Turâth al-Arabi, 1420 H</ref> | ||
L'ayatollah Makarim Shîrâzî, l'un des commentateurs du Coran chiites, souligne à ce point que cette affaire n'a pas beaucoup d'effet sur le but principal de cette histoire.<ref>Makârim Shîrâzî, Tafsîr Nimûna, vol 13, p 40, Téhéran, Dâr al-Kutub al-Islâmîyya, 1374 SH</ref> | L'[[ayatollah Makarim Shîrâzî]], l'un des commentateurs du Coran chiites, souligne à ce point que cette affaire n'a pas beaucoup d'effet sur le but principal de cette histoire.<ref>Makârim Shîrâzî, Tafsîr Nimûna, vol 13, p 40, Téhéran, Dâr al-Kutub al-Islâmîyya, 1374 SH</ref> | ||
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